25/ Nous sommes inhérents au Tout, sans aucune délimitation nous en séparant, sinon notre psyché et notre appréhension du monde.
Plus ça va, et plus j’me rends compte que c’que j’découvre m’ouvre à encore davantage de dimensions et de lieux à visiter. Ça semble être sans fin. Cependant, j’connais désormais un bon nombre d’endroits où j’peux résider tranquillement et discuter avec certains êtres dev’nus des amis.
- T’as donc vraiment trouvé ta place en tes mondes intérieurs !
- Pas vraiment. En fait, plus ça va, et plus j’ai du mal à faire la différence entre c’qui m’est interne et c’qui est extérieur. C’est comme si les frontières séparant ces deux catégories d’dimensions n’sont qu’la projection d’ma psyché humaine, laquelle met des barrières pour justifier certains états d’esprits en lesquels j’suis toujours enfermé.
En fait, j’vibre vraiment d’plus en plus sur la considération qu’j’appartiens au Tout, et que tout c’qui m’compose se manifeste tant intérieurement qu’extérieurement.
Comment t’dire ? J’pense que nous sommes inhérents au Tout, sans aucune délimitation nous en séparant, sinon notre psyché et notre appréhension du monde. J’sens vraiment que j’suis continuellement avec le Tout. Un Tout qui commence en moi et qui semble s’étendre dans l’infinité d’toutes les directions.