38/ Tous autant que nous sommes avons besoin de l’évolution d’autrui.
( suite discussion avec le nuage )
Tous autant que vous êtes avez besoin de l’évolution d’autrui. Tout simplement car vous constituez une grande famille, unie au-delà des vicissitudes de l’existence par un germe inaliénable qui fait la raison d’être première de votre présente incarnation : l’Amour !
Un Amour qui ne trouve pas sa place dans la compréhension que vous pouvez en avoir, mais tout simplement dans le respect du Vivant, celui que tu incarnes tout comme celui qu’incarnent l’ensemble des êtres de toutes natures en ce monde planétaire qui vous offre l’existence.
C’est là que tes évolutions subtiles prennent un sens, et même un rôle primordial. Elles te permettent justement d’apprécier ces mondes invisibles par ta compréhension intellectuelle. Là se trouve la force de ton existence. Tes pérégrinations subtiles t’apportent solidité en tes convictions, te portent de croyances aussi stables que peut l’être une montagne. Par elles, tu deviens cet aigle qui voit clair au-delà des illusions premières et qui peut, rageur, trompeter haut et fort la gloire de l’Amour et du Respect mutuel. Ainsi t’apportent-elles la Foi inébranlable en la Vie qu’incarne si bien le lion des prairies. Une Foi qui, par-delà toute conviction, saura rallier à toi toutes les bonnes volontés du ciel et de la galaxie.
Car, en toi, comme en chaque être humain, c’est nous tous qui vivons … et qui attendons que vous permettiez continuellement à l’Evolution que nous manifestons de faire son cheminement.
Vous êtes les élus de la Création, les acteurs qu’elle a manifestés afin que cette planète d’expérimentation du vécu devienne une véritable source d’évolution pour vous-mêmes comme pour toute la galaxie. Car, à chaque instant, la Terre rayonne et imprègne de ce qu’elle vit l’ensemble de l’Univers auquel elle participe.
Nous dépendons tous de vous. C’est pour cela que nous nous manifestons parfois à votre psyché pour vous montrer que nous existons, bien vivants, et qu’il faut penser à nous, tenir compte de nos conditions d’évolution lorsque vous envisagez d’agir.
Car sans nous, il n’est plus rien. Tout comme sans raison d’être, vous n’êtes plus grand-chose.